TOTAL SENEGAL va faire son entrée à la BRVM

tçotalÀ l’occasion de l’entrée de Total Sénégal sur la BRVM, le groupe français cède 8,9 % du capital de sa filiale, leader national de la distribution de produits pétroliers. Une bonne nouvelle pour le marché financier ouest-africain.

La société de distribution d’hydrocarbures Total Sénégal, filiale de la multinationale française du même, a démarré ce mercredi à Dakar son offre publique de vente (OPV) de ses actions, a appris APA auprès de la Société de gestion et d’intermédiation (SGI) CGF Bourse basée à Dakar.

Hier Mercredi 08 octobre 2014,  l’Offre Publique de Vente de 290 000 actions Total Sénégal au prix de 12 000 FCFA chacune a été annoncée. Cette opération représente 8,90% des actions Total Sénégal et sera suivie par  l’Introduction à la cote de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières ( BRVM) de 30,9% du capital de Total Sénégal.
 

Je vous mets en attachés, deux documents pour votre information.

Bulletin de souscription IPO TOTAL SENEGAL

Dépliant-OPV-TOTAL-Sénégal

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Adoptez la Bonne Attitude et à bientôt,

ICI 2014

ICI-2014Le Forum Investissement 2014 qui s’est déroulé du mercredi 29 Janvier au 1er Février fut un vivier d’opportunités pour notre nation.

Mais du point de vue boursier, ce que je sais le mieux, ce sera l’entrée de plusieurs entreprises aussi bien nationales qu’étrangères dans notre bourse des valeurs.

Bien effectivement, la CI reprend son souffle. Les PME, PMI  devront désormais se tourner vers d’autres moyens de financement.

En tout cas, pour ma part, je peux vous assurer que le train est en marche.

Adoptons la Bonne Attitude

Burkina Faso : le titre Onatel recule de 5% malgré des résultats en hausse

onatelL’entreprise Onatel, opérateur global de télécommunications au Burkina Faso, coté sur le compartiment A de la BRVM, a annoncé une « forte progression » de ses performances financières sur les 9 premiers mois de l’année 2013, soutenues par son segment mobile.

« La branche mobile demeure le véritable moteur de la croissance de l’activité d’Onatel SA avec un parc d’abonnés de plus de 4,2 millions de clients, en progression de 11% par rapport à 2012 », a-t-elle commenté dans sa communication financière.

Au 30 septembre 2013, le chiffre d’affaires de l’entreprise qui est une des filiales en Afrique subsaharienne de l’opérateur Maroc Telecom a affiché une progression de 6% et ressort à 90,39 milliards de FCFA contre 85,07 milliards de FCFA à la même période en 2012.

Cette croissance du chiffre d’affaires a eu des effets positifs sur ses résultats, notamment celui des activités ordinaires qui a progressé à 20,52 milliards de FCFA contre 15,99 milliards de FCFA pour la même période de 2012. Le résultat net a enregistré une hausse de 36% et s’établit à 15,13 milliards FCFA contre 11,16 milliards de FCFA en 2012.

L’entreprise a aussi mis en évidence le fait d’avoir pu poursuivre ses investissements tout en maitrisant les coûts d’exploitation, ce qui a permis de soutenir la croissance du chiffre d’affaires tout en confortant le résultat net. « Le programme d’investissement vise l’extension du réseau et l’amélioration de la qualité du service. L’effort d’investissement est un facteur déterminant de la poursuite de la croissance », a expliqué l’entreprise dans son communiqué.

Alors que l’entreprise mise sur le maintien de la croissance jusqu’en fin d’année, les investisseurs semblent avoir eu d’autres indicateurs. Le titre Onatel a chuté d’un peu plus de 5% sur la BRVM. Il reste toutefois sur une hausse de 31,33% depuis le début de l’année en cours.

Algérie : dix entreprises publiques bientôt en Bourse

Bourse-Alger_drLe Conseil des participations de l’État (CPE) algérien a donné son feu vert le 26 septembre à l’introduction en Bourse de dix entreprises publiques, selon le site d’information TSA.

Dix entreprises publiques algériennes pourraient prochainement être introduites à la Bourse d’Alger. Selon une source proche du dossier, citée par le site d’information algérien TSA, le Conseil des participations de l’État (CPE) a donné son accord pour l’introduction en Bourse de Cosider carrières, filiale du groupe de BTP Cosider, du Crédit populaire d’Algérie (CPA), de l’opérateur télécoms Mobilis, de la Compagnie algérienne d’assurance et de réassurance (CAAR), ainsi que de six cimenteries publiques. « Rien n’est encore fixé en ce qui concerne le pourcentage du capital à mettre en Bourse, ni les modalités de cette introduction. »

Selon la même source, le gouvernement compte aussi introduire en Bourse une deuxième vague d’entreprises publiques dont Air Algérie, la Compagnie algérienne des assurances (CAAT), le distributeur pétrolier Naftal, la Banque nationale d’Algérie (BNA) et la Banque de développement local (BDL). « L’objectif du gouvernement est d’arrêter à 40 entreprises publiques cotées à la Bourse d’Alger à la fin de l’année 2015. »

Des secteurs qui peuvent intéresser le marché

« L’annonce relative à l’introduction en bourse d’une première série d’entreprises est un bon signe. Il s’agit des secteurs que nous recommandions : télécoms, services financiers, matériaux de construction. Ce sont les secteurs économiques qui ont le potentiel d’intéresser le marché », a confié à Jeune Afrique Lies Kerrar, le fondateur de la société de conseil financier Humilis Corporate Finance.

« J’ai eu l’occasion de structurer en 2005-2006 un financement sur le marché obligataire pour Mobilis, et l’appel au marché a été très positif. Cela augure de bonne perspectives pour une éventuelle introduction en bourse », poursuit-il.

Aujourd’hui, seulement quatre entreprises sont cotées à la Bourse d’Alger, dont deux publiques (la chaîne hôtelière El Aurassi et le groupe pharmaceutique Saidal).

La BRVM accueillera la 17ème Conférence annuelle de l’African Securities Exchanges Association

brvmconfLa Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM), bourse régionale d’Afrique de l’Ouest accueillera l’Assemblée Générale et conférence annuelle de l’African Securities Exchanges Association (ASEA) à l’hôtel Sofitel-Ivoire Abidjan. Prévue du 1er au 4 décembre 2013 à Abidjan, la conférence de quatre jours placée sous le haut-patronage de Son Excellence le Président de la République de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara (photo), comprendra huit tables rondes de haut niveau, des plateformes de networking et l’occasion de visiter Abidjan, hub culturel de l’Afrique de l’Ouest.
Edoh Kossi Amenounve, directeur général de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) se réjouit de la tenue de cet évènement à Abidjan : « Accueillir cette conférence est un grand honneur pour nous dans la région de l’Union économique et monétaire ouest-africaine. Nous sommes impatients de recevoir les décideurs économiques et financiers du continent pour réfléchir ensemble au présent et à l’avenir des marchés de capitaux africains dans un cadre festif et chaleureux ».

La conférence aura pour thème une question majeure de l’avenir économique du continent : « L’Afrique : Des promesses aux réalisations : le rôle clé des marchés de capitaux ».
Un large éventail de conférences thématiques ; « Les marchés frontières : pourquoi maintenant ? », « Les ressources minières africaines et le financement des infrastructures par le biais des marchés de capitaux » sera discuté lors de cet important rassemblement de leaders d’opinion africain et de la communauté internationale, de l’industrie financière et du capital investissement.

Des leaders d’opinion africains et internationaux échangeront avec dirigeants de bourses, décideurs politiques, investisseurs sur les marchés de capitaux africains, financiers, acteurs du capital-investissement, observateurs économiques et journalistes sur le rôle, la place et les perspectives des marchés de capitaux. « L’objectif final de cette 17ème conférence de l’ASEA est de générer suffisamment d’idées stimulantes et d’initiatives attractives pour qu’elles soient traduites en un plan d’action concret, applicable et à forte valeur ajoutée pour l’ASEA. » explique Sunil Benimadhu, président de l’ASEA.

L’ASEA estime que le continent africain est de plus en plus considéré par les investisseurs internationaux comme une destination prometteuse au potentiel de croissance considérable. La clé pour conserver cet intérêt soutenu réside dans l’amélioration continue du climat des affaires sur le continent et le développement de marchés financiers dynamiques.
Plus d’information sur la conférence www.aseabrvm2013.org.

Sénégal : Matforce bientôt en Bourse

BRVM_IssoufSanogo-AFPMamadou Sow, le président directeur général du sénégalais Matforce, veut coter entre 10 et 20 % du capital de sa société à la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM).

Le patron de la Compagnie sahélienne d’industries Matforce, un groupe sénégalais actif notamment dans la production d’énergie, a fait son choix. Mamadou Sow entend coter dans les prochains mois entre 10 et 20 % du capital de sa société à la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), à Abidjan.

Financement régional

Le président directeur général rachète en ce moment les 10% détenus dans le capital de Matforce par le fonds Aureos Capital (Abraaj Capital). Après avoir étudié la possibilité de faire entrer à nouveau un capital-investisseur au tour de table, il préfère désormais financer son développement sur le marché financier régional.

Ancienne filiale d’Unilever, Matforce est aujourd’hui détenue en majorité par Mamadou Sow. Aureos Capital avait acquis une participation de 10 % dans la société en 2007 et avait fourni une garantie de prêt de 2 millions de dollars pour permettre à Matforce de contracter un prêt équivalent en monnaie locale.

Le groupe emploie 300 personnes aussi bien dans la distribution et la maintenance de véhicules que dans la production d’énergie et la climatisation. Son chiffre d’affaires s’est établi à 18,4 milliards de F CFA (environ 28 millions d’euros) en 2011.

Nouveau visage de la BRVM

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Eh oui, Écran LED affichant les cours en temps réel. Plus besoin nécessairement d’y entrer. Juste au passage, levez la tête, analyser et informez votre SGI.

Également sur le site de la BRVM, vous avez les cours en temps réel. Tout nous est accessible, à nous d’en faire quelque chose de bon.

Adoptons la Bonne Attitude

Cotation en continu

La cotation en continu

La cotation en continu résulte de la confrontation simultanée des ordres de bourse. Elle a pour but principal de favoriser un plus grand nombre d’échanges et constitue une importante innovation pour un marché boursier.

Contrairement au fixing qui établit un seul cours d’équilibre par jour, la cotation en continu permet de connaître, en temps réel l’état du marché d’un titre en établissant   plusieurs   cours   dans la   journée,  offrant   ainsi de   nombreuses opportunités d’achat et de vente de valeurs mobilières. Elle assure également une exécution rapide des ordres de bourse. Enfin, la cotation en continu accroît la liquidité du marché en facilitant notamment le dénouement des positions prises.

La  Bourse  Régionale  des  Valeurs continu. Mobilières  (BRVM)  passe  à la  cotation  en continu.

Après 15 ans de fonctionnement, la BRVM fait un saut qualitatif en passant du fixing à la cotation en continu.

Abidjan, le 03 septembre 2013

– La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) modernise son système de compter du lundi 16 septembre 2013.

Le lancement officiel

La cérémonie officielle de lancement est placée sous le parrainage des autorités de l’UEMOA représentées par Monsieur Daniel Kablan DUNCAN Premier Ministre de Côte d’Ivoire avec la présence effective de Madame KABA Nialé, Ministre auprès du Premier  Ministre,  chargée de  l’Economie  et  des  Finances  et en  présence  des acteurs du marché, ainsi que des investisseurs régionaux et internationaux. Elle aura lieu le 16 septembre 2013 à 9h30 min au Siège de la BRVM sis au 18, Avenue Joseph ANOMA au Plateau.

Adoptons la Bonne Attitude…

Ralentissement du marché pendant le mois d’Août

Selon une analyse faite par le CGFBourse, le mois d’Août a connu un ralentissement du marché financier.

La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) affiche un repli au terme du mois de juillet. En effet, les indices
BRVM Composite et BRVM 10 ont enregistré des baisses de 1,12%, à 208,53 points et de 1,96%, à 231,88 points, respectivement. Les contreperformances enregistrées du côté des secteurs « Agriculture » (-6,37%) et « Finances » (-4,31%) ont principalement entrainé le recul du marché. Par contre, les secteurs « Distribution » et « Services Publics » affi chent des notes positives avec, respectivement, +4,20% et +1,17%.
La capitalisation Boursière de l’ensemble des titres cotés s’effrite de 0,84%, à 5 061 milliards de Fcfa, celle des titres composant l’indice BRVM 10 se déprécie de 2,70%, à 3 952 milliards de Fcfa.
Source: CGF Bourse

La côte d’Ivoire veut construire un pont commercial entre la Cemac et l’Uemoa

AdamaC’est l’un des objectifs majeurs de la Semaine ivoirienne au Cameroun (Sic) qui se déroulera du 7 au 13 octobre 2013 à Douala.

Cet objectif général se décline en deux. Du côté de la Cemac, qui représente un marché de plus de 40 millions de consommateurs, il est question pour la Côte d’Ivoire de voir comment accéder, à partir du Cameroun, à cet important marché. Du côté de l’Uemoa, c’est la présentation des opportunités d’investissements dans l’espace, à partir de la Côte d’Ivoire, aux opérateurs économiques privés et publics. La finalité étant de construire une sorte de pont commercial entre ces deux espaces économiques des pays francophones de l’Afrique Subsaharienne, qui échangent encore faiblement en matière commerciale.

L’ambassadeur de Côte d’Ivoire au Cameroun a insisté sur cet aspect particulier, lors de la cérémonie officielle de lancement de la Sic 2013, qui s’est déroulée ce 29 août 2013, à Douala, sous les auspices de Joseph Elongo, conseiller aux affaires économiques de la région du Littoral. «Du point de vue économique, nos relations ne sont pas très poussées», a reconnu Adama Dosso. «Cet aspect sera débattu au cours de cet événement», a rassuré le diplomate ivoirien. Au menu également de ce conclave, l’épineux problème du Cfa qui n’est pas interchangeable entre les deux zones économiques. «Le Cameroun et la Côte d’Ivoire utilisent tous le franc Cfa.

Mais, le Cfa du Cameroun n’est pas accepté en Côte d’Ivoire, vice-versa. Ce qui n’est pas normal et constitue un frein aux échanges », a commenté Adama Dosso. D’après lui, la Sic recherche cinq objectifs spécifiques. Consolider et développer l’ensemble des relations multiformes qui existent entre la Côte d’Ivoire et le Cameroun, maîtriser et maximiser le courant informel d’échanges économiques et commerciaux entre les deux pays, etc. Les secteurs d’activités sont, entre autres, l’agriculture, la construction, les infrastructures, les Tic.

L’économie de la Côte d’Ivoire, avec un PIB par habitant qui s’élève à 1 600 USD en 2011 fait partie des économies en voie de développement. L’indice de pauvreté atteint 48,9 % en 2008. La Côte d’Ivoire reste toutefois un poids économique important pour la sous-région ouest-africaine : elle représente 39 % de la masse monétaire et contribue pour près de 40 % au PIB de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa).